Adjectif par le son déplaisant qu'il rend, propre à qualifier un vin doux, ou cuit. Xerxés, Martini, porto, autres ifamies, alcools moites et sucrés, douçâtres, oncyueux et veules. A force de boire ces liquides, on devient soi-même douçâtre et sucré, ils prédisposent à devenir notaire ou académicien, philantrope ou D.R.H. Ce sont des alcools plein d'humilité et de regards par en bas, sournois, onctueux comme des prêtres pédophiles; des vins qui cherchent à vous flatter dès le premier contact, mais qui disent surement du mal de vous dans votre bide. Le véritable vin, avant sa ddssubstantiation en vin doux, possède cette nuance râppeuse et hautaine, cet abord épineux et souvent minéral qui sige la grandeur d'âme chez tout être. Le vin est parfaitement qualifié en tant que sang d'un Dieu -  le cherry pourrait tout juste servir à transfuser un babouin.